1894.
Vincenzo, un enfant Ciotaden, souffre de ses origines
piémontaises dont on ne cesse de lui rebattre
les oreilles, même Firmin, son meilleur ami,
ne se gêne pas pour le lui rappeler. Après
la mort de son père, tué dans une
chute aux chantiers navals, le rêveur Vincenzo
va connaître bien des soucis et une dégringolade
sociale malvenue.
Mais la mauvaise fortune va tourner, il va faire
la connaissance de la famille Lumière et
assister à la naissance du Cinématographe,
sa vie entière en sera transformée…
Si
l’art du roman vise à procurer du bonheur,
Denis Blémont Cerli y parvient parfaitement
dans son dernier et cinquième roman «
La Ciotat, les Lumière et moi », paru
aux éditions Plume d’Écume.
La singularité de ce récit tient dans
le regard que porte Vincenzo, un enfant de onze
ans, vers ce qui l’entoure. On revient en
1894 à La Ciotat, dans un monde qui nous
est familier et pourtant si lointain. Un monde disparu
où l’on se retrouve projeté
avec délice par la grâce des yeux de
ce gamin sensible et attachant.
Les points d’orgue de l’histoire sont
la découverte de la famille Lumière
et l’invention du cinématographe comme
si on y était. Les premiers films : l’arrivée
du train en gare de La Ciotat, l’arroseur
arrosé, première fiction de l’histoire
du cinéma, le goûter de bébé
et puis cette fameuse soirée au Palais Lumière
où furent projetés tous ces chefs-d'œuvre.
Les fidèles de Denis Blémont Cerli
y retrouveront la toute-puissance de son imaginaire
et son art de la description qui nous parlent de
l’essentiel de l’existence : les joies,
les peines, l’amitié, l’humour,
la solitude, la perte, l’espérance
et bien entendu, l’amour…
ISBN/9782952494250
Format 15,5x22 260 pages 17€
Parution : AVRIL 2013
Notre
catalogue comporte
trois autres ouvrages :
- Retour à Lama
- Marseille
Corse aller simple
- Le roman de
1720